Nous n'arrêtons pas de nous amuser parce que nous vieillissons.
Nous vieillissons parce que nous arrêtons de nous amuser.
Nous n'arrêtons pas de nous amuser parce que nous vieillissons.
Nous vieillissons parce que nous arrêtons de nous amuser.
Voici une photo que j'adore et que j'ai "piquée" à Martine citoyenne du monde
http://www.campostellae.com/5-index.html
J'en profite pour lancer le petit débat du jour :
La religion : faut il ou ne faut il pas croire? Si oui en quoi croyons nous?
Ne sert elle pas souvent à certains intégristes (de toutes croyances) à asseoir leurs pouvoirs sur les plus faibles? A limiter les libertés? Existe t'il un paradis? Un enfer? Certaines religion sont assimilées à des sectes mais j'ai un ami (ancien prof de religion à la retraite) qui prétend que la première secte est le catholicisme, affirme que jésus était le premier communiste, et peste régulièrement contre les évèques et autres hommes de robe qui font si peu cas de générosité pour leurs semblables et ouailles...
Si la religion est "amour" pourquoi en son nom répand t'on tant de sang?
Il y eut jadis les persécutions d'hérétiques, tortures et délicatesses en tout genre exercées par des hommes de culte, aujourd'hui comme hier perdurent encore les attentats, les guerres, les bourkas, les lapidations, les mariages forcés, chez nous lors de cette union sacrée la femme accorde encore de suivre et d'obéir à son mari... humm j'oubliais les exactions de certains prêtres qui violent des enfants. Quand donc accordera t-on le droit à l'union légitime à ceux-ci, ça éviterait peut être certaines dérives? également que ces malheureux doivent cacher l'amour qu'ils portent à une femme (pas à un homme vu que ça c'est condamné aux flammes de l'enfer)
Personnellement, je ne crois pas en un dieu tel qu'on nous le présente : un père digne de ce nom pourrait il supporter la douleur de ses enfants? De les voir mourir de froid, de faim? Qu'une poignée de nantis dirigent et anéantissent la multitude qui se révolte si peu (on peut d'ailleurs se poser des questions à ce sujet ... autre débat). Pour les avoir condamner à l'enfer terrestre il dût avoir bien peu de coeur. La connaissance était donc un crime? Pourtant aujourd'hui elle seule pourrait nous sauver pauvres hères qui courront à notre perte en détruisant notre planète car nous vénérons trop le "dieu argent", le "dieu profit immédiat", à force de courir après le luxe (oui, bon tout est relatif et dépend de qui on parle :-) ) nous perdons de vue les vraies valeurs, c'est vrai que les préceptes de la religion étaient beaux :
- tu ne voleras point
- tu ne tueras point
- ... (euh! je crains d'avoir qq peu oublié les autres mais appliquer ceux-ci c'est déjà pas mal) mais si je ne m'abuse la faute de l'un rejaillit sur ses rejetons durant sept générations!!!!
Au nom de la religion il nous faut accepter de souffrir dans nos corps et dans nos âmes. Non excusez moi : j'ai du mal à le reconnaître ce dieu d'amour et de miséricorde.
Et vous?
Écrire à l’autre pour lui dire tout ce qui continue de vous charmer ?
Ça semble inutile… et pourtant.
Essayez. Vous pourriez avoir des surprises.
(cela peut même s'étendre à un père, une mère, un enfant, sa soeurette ou son frérot, ses amis aussi... l'horizon est vaste et inépuisable)
Si à trop fréquenter votre partenaire, vous avez oublié les raisons pour lesquelles vous l’avez choisi ; si, dans les méandres du quotidien, vous ne vous émerveillez plus de ses qualités, peut-être est-il temps de refaire un inventaire positif de votre relation.
Tel est l’exercice que nous vous proposons. Il consiste à écrire la liste de ce qui vous plaît toujours chez l’autre : gestes du quotidien, initiatives, manières d’être ou de communiquer… Isolez-vous, pensez à votre partenaire et écrivez sans vous censurer ce qui vous vient à l’esprit quand vous pensez à ses « meilleurs côtés ».
Ce travail de recension qui semble léger peut avoir de grands effets. Il permet en effet de se constituer une « réserve » de sentiments positifs très utiles quand les prochaines crises se présenteront.
Seconde étape : passez de l’écrit à l’oral et dites-lui de vive voix tout le bien que vous pensez de lui.
« Ce que j’aime chez toi… » : un beau début de phrase que nous avons proposé à quatre couples. Ils se sont pliés à l’exercice avec surprise et émotion, s’avouant parfois ce qu’ils ne s’étaient jamais dit. Avec eux nous découvrons combien les manières d’être amoureux sont multiples. Et qu’elles ne s’appuient pas forcément sur des transes passionnées mais sur des attentions au quotidien.
Extrait du dossier « peut-on rester amoureux ? » de Psychologies-Mai 2007
Voilà où j'aurais voulu être vendredi!
Vendredi, comble de malchanche, trois activités incontournables étaient organisées sur Frasnes (et cerise sur le gâteau!!!) aux mêmes heures!
- il y ' avait celle d'Ecolo, évidemment.
- Une jeune institutrice organisait un souper pour récolter des fonds afin de soutenir des projets en Afrique.
- La soirée littéraire à la bibliothèque.
Profitant d'un p'tit "couac" à mon ordi, un ami écolo super sympa accourt pour me dépanner, du coup j'en profite pour lui glisser : " tu crois que ça poserait problème si j'allais plutôt à la biblio, j'ai vraiment envie de rencontrer Cathy Bonte, je viendrai à la première partie et puis s'il y a beaucoup de monde j'en profiterais pour m'éclipser discrètement..."
Mon ami qui est vraiment super sympa me répond : "non, non... vas-y" (lui même a beaucoup apprécié le premier livre de l'auteur : "le calme après la tempête"
Nous voici donc à la salle Mozart qui se remplit, se remplit ! Wouais ! pensais-je un peu trop vite, dès que la lumière s'éteint, je file juste quelques mètres plus loin à la bibliothèque (et oui nous étions dans la même rue!!!). Je tourne les talons pour récupérer ma veste et voici que retentit : "Fabienne, tu peux m'aider pour le coup de feu tantôt"...
Voilà comment je me suis retrouvée à servir des verres à des Verts plutôt que d'allez à la soirée littéraire! Lorsque j'ai vu arriver des connaissances que je savais s'y être rendues, j'ai poussé un gros soupir et ai décapsuler, dévisser, à tour de bras pour rassasier les assoiffés (il y'avait quand même du jus d'orange et de l'eau pétillante).
Alors pour ne pas perdre de temps (chasser le naturel il revient au galop) j'ai milité activement pour défendre les valeurs auxquelles je tiens tant!
big bisous
Ecolo Frasnes vous invite ce vendredi 18 janvier 2008, à partir de 19h30, à une soirée débat sur le thème des éoliennes dans la salle Magritte située sous l’hôtel de ville de Frasnes (entrée face au hall sportif).
M. Jacques Manbour, gestionnaire de l’éolienne de Couvin exposera les modalités de prise de participation dans le capital d’une éolienne.
M. Jade Charouk, facilitateur éolien pour le Région Wallonne, expliquera comment se conçoit un projet éolien.
Lors de cette soirée, inscriptions pour la visite d’une éolienne à Aachen.
Entrée gratuite.
A partir de 19h00, la locale de Frasnes a le plaisir de vous offrir le verre de l’an neuf. Nous vous invitons donc toutes et tous à venir partager ce(s) verre(s) entre verts et à nous aider à bien commencer l’année. Votre présence nous ferait en effet grand plaisir !
C'était vraiment une soirée intéressante. Bon bien sûr de nos jours tout le monde connaît les éoliennes (et elles ont de moins en moins de détracteurs), mais la particularité, le "petit plus" provenait de Mr Manbour et de son souhait de dévellopper ce type d'énergie en Afrique, essentiellement pour l'instant au Maroc.
« Mon cœur craint de souffrir, dit le jeune homme à l’alchimiste, une nuit qu’ils regardaient le ciel sans lune.
- Dis-lui que la crainte de la souffrance est pire que la souffrance elle-même. Et qu’aucun cœur n’a jamais souffert alors qu’il était à la poursuite de ses rêves. »
Pauelo Coelho
L’Alchimiste
Merci à tous pour vous être exprimés sur le sujet. Je vais ici maintenant (très belge ça comme formule :-) ) développer mon opinion. J'espère sincèrement en parlant à coeur ouvert ne vexer, ne blesser personne. Je ne me permet pas de juger qui ou quoi que ce soit, qui serai-je pour me permettre cela. Ceci est juste un débat d'idées. Un échange. Une rencontre. Je ne me permettrais jamais d'envisager seulement que mes arguments sont meilleurs que ceux d'un(e) autre. Mais somme toute voici un merveilleux espace de liberté que celui ou nous pouvons nous exprimer sans contraintes et sans jugement.
Personnellement je suis contre l'avortement. Je pense que la vie est précieuse, au plus profond de nous elle bouillonne, se projecte. Le spermatozoïde participe à une fabuleuse course pour être le premier, le meilleur, le plus fort, pour être celui qui arrivera à percer et pénétrer l'ovule!
Dès la conception j'estime que nous sommes vivants, notre état civil à mon sens devrait notifier 9 mois supplémentaires : ceux de la gestation.
J'estime en tant qu'être humain, qu'il nous appartient de vouloir ou non concevoir un enfant. En ce sens je revendique la gratuité de la contraception (toujours mon petit côté réactionnaire et acitviste). En effet ce n'est pas qu'une question d'éducation : la contraception cela coûte cher! Alors, pour des jeunes, des minimexés, quand il faut choisir entre telle ou telle dépense, pour les gens à la rue : pensez-vous que la contraception soit la priorité? Non, et pourtant tant de drames, si la gratuité était accordée, seraient évités! Je crie haut et fort que dans ces cas ce sont les pouvoirs publics les coupables, plutôt que de dépenser l'argent du contribuable en fastes qu'ils lui accorde un peu de bien être et agissent pour rendre à l'humanité sa dignité. Dans nos pays riches ce manque d'initiative est une honte qui rejaillit sur chacun d'entre nous.
Il y a malheureusement des cas où nulle protection ne pourrait être envisagée, je pense ici au viol, aux personnes atteintes de maladies dangereuses et transmissibles et qui le découvrent trop tard pour y remédier et je plains du plus profond de mon âme les êtres qui se trouvent confrontés à ce drame. Là j'avoue qu'il s'agit d'une intime discussion avec soi pour prendre sa décision et nul autre que la personne n'a à se prononcer et surtout à juger. Sinon je réitère que si l'on ne veut pas d'enfant, il y a moyen de se protéger. Trop de personnes prennent l'avortement à la légère, et depuis peu je puis vous assurer que je ne me doutais pas à quel point! Nous ne sommes pas des "enfants", nul n'ignore que l'acte charnel comporte des risques :
- celui de contracter une maladie sexuellement transmissible (ce qui peut être un acte crimminel si la personne se sait contaminée et ne se protège pas)
- celui d'engendrer un petit d'homme
- de se brûler les ailes (mais ça c'est une autre histoire)
- ...
Même si l'on ne supporte pas pour raisons de santé la pilule, il existe néanmoins d'autres moyens de protections. Et lorsque l'on a déjà plusieurs enfants, si l'on n'en désire plus on peut toujours ligaturer les trompes. Il y a malheureusement des personnes que l'on ne peut plus raisonner : celles qui ont basculé dans l'ivresse, dans la drogue,... et là nous sommes impuissants, vu que la conscience n'est plus.
N'oublions pas pour les messieurs qu'ils peuvent eux aussi agir! Trop facile de se décharger de ses responsabilités sur la femme, qu'elle soit son épouse ou pas.
Je suis sensible aux arguments de l'âge, de la crainte de l'avenir. Notre monde est en multi croissance d'horreurs diverses : violences, dégradations morale et climatique, l'inflation galopante fait émerger les inégalités, ... et pourtant souhaiterions nous pour ces raisons mettre un terme à nos existences? Non. Parce qu'heureusement en balance fleurissent les notions d'amour, de tendresse, de respect. Tout ce qui donne sa valeur à la vie.
Je respecte la douleur sous entendue dans les commentaires qui parlent des enfants en souffrances, des parents qui auraient mieux fait de ne pas en être, je crains moi même d'avoir été une mère "en dessous de tout" et d'avoir provoquer chez mes 2 filles, bien qu'elles soient mon coeur et mon âme, mes fibres et mon sang, mes trésors les plus précieux, bien trop de désespérances. Mais si un jour, leurs vies rencontre l'amour, le vrai, celui qui donne autant qu'il reçoit, alors rien n'aura été vain.
big bisous
fabienne
Voici un petit texte transformé que m'a envoyé ma soeurette, je l'ai juste mis un peu à mon goût (et changé l'image car je n'arrivais pas à remettre la même!!!!!)
Sans qu'aux premiers abords il n'y paraisse, les chemins de nos vies se jalonnent de rencontres importantes : des êtres simples mais vrais qui illuminent, éclairent, changent notre vie; l'enrichissent juste en faisant partie.
Ce sont des parents, des voisins, des connaissances. C'est un quidam ou un intime. Parfois c'est simplement quelqu'un qui te fait rire jusqu'à ne plus pouvoir t'arrêter; ou encore quelqu'un qui te fait croire que la vraie bonté, l'amour, le désintéressement, existe en ce monde.
C'est un regard, un sourire, une main qui se tend, qui te donne autant qu'il ne rend, un échange volubile ou patient, quelqu'un qui peut te convaincre qu'il y a vraiment une porte qui attend simplement que tu l'ouvres. Si tu l'a franchit ce peut être le miracle d'un rencontre éphémère ou le bonheur d'une amitié sincère.
À toi, à vous, à nous de choisir! Pour vous chers amis d'over-blog, écriture ludique, amis, la porte est ouverte : il n'y a pas de cléf.
big bisous ma p'tite oursonne
Auteur : Michelle Fourez
Le coeur du Pays des Collines en BD ! « Mission au Pays des Collines » |
Liberté, fraternité, égalité....
Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité...
Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne...
Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants...
Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou
exilé...
"La folie suprême n'est-elle pas de voir la vie comme elle
est et non comme elle devrait être"?
J. Brel