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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 05:54
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20 février 2008 3 20 /02 /février /2008 00:03
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Bonne nuit, à demain
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19 février 2008 2 19 /02 /février /2008 21:41

http://www.camomille64.com/ 
Camomille vient de nous taguer, alors désolée mais il va me falloir à mon tour désigner 6 victimes (que j'espère consentantes)

Règles du jeu
- mettre le lien de la personne qui tague
- mettre le règlement sur votre blog
- mentionner 6 habitudes ou tics non importants sur vous même
- taguer 6 personnes dans votre billet en mettant leur lien
- aller les avertir directement sur leur blog

Mes six habitudes

1) Je suis une accro au café.  Dès le réveil je me précipite sur le thermos et le soir juste avant d'éteindre la lumière je bois avec délectation la dernière tasse dans mon lit (non, non : ça ne m'empêche pas de dormir, ce serait plutôt d'en être privée qui me perturberait...)

2) J'ai l'habitude d'être toujours en retard ou tout du moins d'être à la limite.( J'ai une sainte horreur de me plier aux règlements)

3) J'aime écouter de la musique en voiture, avant même de démarrer mon premier mouvement est d'allumer le lecteur CD

4) J'ai l'habitude de rêvasser, je suis passer maître dans l'art de hocher la tête juste quand il faut alors que mes pensées sont ailleurs....

5) le soir en sortant nonos (mon chien) j'ai l'habitude de lever le nez pour regarder les étoiles, chaque fois je me demande combien de personnes font comme moi. Certains prétendent que l'âme de nos disparus deviennent des étoiles je trouve cela très joli 

6) J'ai l'habitude d'éviter les habitudes :-)

Bon ! Etes-vous prêts à être tagués?

Il nous faut la parité donc 

côté féminin je désigne
en premier (lien du coeur oblige)
http://liloubaby.spaces.live.com/ (letti soit pas jalouse : tantine t'a déjà taguée!)
en deuxième
http://enriqueta.over-blog.com/
en troisième http://tibazar.over-blog.com/

côté masculin je tague
http://kildar.over-blog.com/
http://tnkhanouff.hautetfort.com/
et en troisième Fayçal (bien que tu n'aies pas de blog tu peux laisser en com)

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 23:55
http://lesdiabletteries.mon-blog.org/index.php/2008/02/16/132148-je-marche-sur-un-fil-mais-ce-fil-c-est-ma-vie#co

Voici à nouveau un lien vers un article de Ernest J. Brooms : Equilibriste "Je marche sur un fil, mais ce fil, c'est ma vie."'

J'avais mis en ligne un texte qui en son temps est passé inaperçu  :
"Comme un echo lointain"
http://il-etait-1-fois.over-blog.org/article-13426656.html 
voici le lien si vous avez envie de découvrir le texte dans son entier 

sinon voici ma partie "équilibriste" du texte : comme quoi les grands esprits se rencontrent (oui je sais : toujours aussi modeste ;-)

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Je marche. Je marche sur un fil ! Pourtant, je ne suis pas équilibriste ? Depuis quand évolue-je sur ce lien ?  Des jours, des mois, des années ? Près d’un siècle ou deux peut-être ? Il me semble errer à l’infini : ce maudit fil  plongé dans le néant ne semble aboutir à rien ! J’avance en vain, tâtonne, oscille ; j’ai le vertige, le vide tout autour m’angoisse et m’appelle !
Je suis seule, si seule, la nuit m’entoure. Circonspecte, vacillante, j’avance cependant pas à pas sur ce fil prodigue de nœuds et de raccords. Jusqu’où va-t-il et d’où vient-il ? Serais-ce la trame du destin ? J’ai peur, si peur, n’y a-t-il donc personne ? Telle une mouche prise dans une toile, je déroule l’écheveau, étire le cordeau. Un instant il me semble apercevoir d’autres pantins perchés sur d’autres cordelettes, tous concentrés, tous pressés sur le fil assigné ; je me redresse et scrute l’obscurité mais il n’y a que le néant : j’ai du rêvé !

Je ferme les yeux un instant, me concentre :

-     « respire, respire ma fille, gorge toi de l’air de cette nuit profonde, assimile, cherche en toi la lumière »

Des images me reviennent : des cheveux blonds en cascade, un visage bouffi de larmes : roulée en boule, position fœtale, je grelotte de froid au pied du lit. Lentement, une larme à nouveau roule sur ma joue… Je me souviens ! c’était à la suite d’une de ces scènes multiples dont je sortais rouée de coups parce que je refusais de céder : le scénario était toujours plus ou moins identique : telle une furie, tu arrivais, trouvais le lit mal fait, exigeais que je le refasse, ce n’était qu’une excuse à laquelle je ne cédais plus, alors la hargne débordait, à coups de pieds, à coups de poings tu abreuvais ta sauvagerie : je me retrouvais jetée hors de la chaleur des draps, loin de la protection illusoire des couvertures ou du couvre-lit, le matelas lui aussi, compagnon d’infortune se retrouvait au sol ! Superbe d’arrogance, de haine tu exigeais que je remette tout en place, moi je refusais : ma dignité j’aurai pu (je pourrais encore) mourir pour elle ; s’en suivait une volée de coups, combat inégal, épuisée je m’endormais sur le tapis tel un chien….

-     « et bien ma fille ! Ce n’est pas exactement la dénomination de la lumière !»

Je tremble de tout mon corps, de toute mon âme, je me souviens de cette époque terrible : tout n’était que prétexte à la violence : un verre jugé trop terne, le chat suspendu dans le vide (chantage quand tu nous tiens !!!), le chien malmené, les repas renversés, exigences inacceptables, humiliations sans fin et toujours la même finalité, les coups de poings, les coups de pieds, les larmes et la rage impuissante, la peur…

La « peur », je la connais bien, c’est elle mon ombre la plus fidèle : peur du vide, de la solitude, peur de rester, peur de partir, peur de l’instant à venir, peur du lendemain, de l’heure, de la minute, de la seconde qui va suivre, peur de l’instant qu’on reconnaît comme étant celui de la folie débridée, les signaux d’alertes sont là, les attitudes, les mots…les actes, le gouffre infini d’un monde parallèle bâti de craintes et de frayeurs,  peur oui peur de « l’homme » haineux, celui qui s’amuse tant, qui se nourrit de votre appréhension, la suscite à renfort de gestes brusques : une main qui s’élève et se repose ne frappant que le vide et l’espace qui vous sépare… 

« L’homme » rit : il avance sa face déformée de rictus, « il » se délecte de vos frémissements.
De cette confrontation inégale et inévitable tu es la proie, la victime désignée, c’est un jeu de dupe : la jungle ! Oui, encore et toujours la même jungle. Il n’y a pas de règles d’honneur, pas d’issues, alors la hargne te prend, l’indignation te soulève et tu cesse de feindre et d’esquiver,
tu lui jettes à la figure qu’il ne te fait pas peur et c’est là que le rictus mauvais 
« il » s’assouvit…  
Même enceinte, ces traitements de faveurs ne me furent épargnés : je me lovais, fœtus à mon tour, pour protéger celui, innocent, qui croissait dans mon ventre, il m’arriva même de m’accrocher aux barreaux de l’escalier pour ne point les dévaler !…

…Je glisse et me raccroche à mon fil ! Il me semble soudain plus rassurant, je me redresse précautionneusement et reprend la marche ! Je progresse lentement. Les images de tant d’évènements me poursuivent : mon cœur est plus lourd que des sabots de plomb.
À tout prix m’éloigner de ce passé par trop douloureux, faire une croix, effacer !

-     Haaa ! Je tombe !

Gauche ! Droite ! Les bras en croix je me balance de gauche à droite ! Finalement, je me stabilise. J’ai chaud, je tremble de tout mon corps, ma vue se trouble et mes jambes sont en coton, Et mon cœur ! Le pauvre il bât la chamade, danse à tout rompre ! Débridé, un peu comme … lorsque je pense à toi ? Ha ! L’amour. Où ce que l’on croit être l’Amour !... Lorsque je t’ai rencontré, je n’ai pas réalisé à quel point la magie de ton regard velours m’avait envoûtée ! A chaque fois que mes yeux rencontraient les tiens je croyais baigner dans un océan de tendresse et de douceur me noyant inéluctablement dans l’eau trouble de ton regard ! Fusion, oui c’est le terme le plus adéquat à accorder. Il me semblait fusionner et pourtant  n’était-ce pas encore qu’une illusion ? Un caprice de petite fille ?

Tant et tant de fois déjà je m’étais déjà trompée, fourvoyée, empruntant le mauvais chemin :
le bon sens me fuirait il dès qu’il s’agit de sentiments ? Et pourtant ! Du plus profond de mon âme je ne pouvais m’empêcher de rêver ! L’eau de tes yeux me faisait délicieusement chaviré, paroles et promesses vaines : tout donner pour aimer ne fusse qu’une fois encore à cœur, à corps perdu ! Ma raison argumentait, disait : non ! Mais mon coeur inconscient palpitait et t’appelait !

… J’ai perdu tant de plumes ! Comment puis-je encore voler ?

Cheminant bon gré, mal gré sur mon fil si frêle et délicat, je philosophe solitairement…Il est des vies si dures, si éprouvantes, dont les épreuves sans fin se succèdent qu’il est opportun de se demander qu’elle peut bien en être le sens, la finalité ? L’angoisse, le vide de la solitude, le désert d’une vie sans tendresse, sans amour, tourments divers et raffinés de l’âme, ne sont évidemment en rien comparable à la crainte, à la lutte physique pour la survie : machettes, mines, tortures, bombes à fragmentations, bombes humaines, la bête noire du racisme, la xénophobie, et pourtant…toutes les larmes ne sont t’elles d’eau et de sel ? Noirs, jaunes, rouges, blancs, bis, tous oui tous n’avons-nous le même sang rouge et poisseux qui coule dans nos veines ? Alors pourquoi autant de haines, de douleurs ? Pourquoi ces âmes innocentes qui meurent de froid, de faim, de soif, …d’indifférence.

Malgré tout cela on y tient à cette chienne de vie ! Pour s’en persuader il faut être au seuil de la mort, alors pour garder son souffle on s’accroche, on s’économise… Des mains trop fortes, trop grandes autour de mon cou fragile, je n’arrive plus à respirer !…

Mon fil, je dois rester sur mon fil : surtout ne plus le quitter ! Et surtout oublier, oublier définitivement le passé ! Oublier ? Le passé, le présent : ils sont ancrés au plus profond de moi : jamais je n’y arriverai !

« L’automne au coin du bois joue de l’harmonica… » dit un poème … Me revient la beauté  majestueuse de ce matin d’hiver où la neige donnait un relief nouveau à la chaise longue semblant ainsi lui insuffler vie  ! On aurait dit un personnage qui se prélassait sous les branches blanchies et cotonneuses du gros saule. Mon âme chavirait à la vue des flocons mousseux tourbillonnant au rythme d’une valse inaudible. Mon âme…La pauvre ! Elle en aura connu des tempêtes et des tornades, soupiré sur des mers d’huile, brûlé sous le soleil écrasant d’un horizon morne et figé, tout autant qu’elle aura dévalé les montagnes russes, sombré dans des abysses, et s’être gorgée de soleil : en bref, elle aura vécu !

Tic tac, tic tac le temps indifférent à nos émois passe…La seconde, l'heure perdue ne se rattraperont plus, qu'ai je fait du laps de temps qui m'était imparti? Que puis-je faire de celui qui reste ?…je m’assieds sur mon fil ! J’en ai assez de courir : je m’installe confortablement. Scrute tout autour de moi c’est la pénombre encore et toujours…je balance nonchalamment les pieds dans le vide, mes pensées me tiennent compagnies !... Tic tac, tic tac...

S’il y a une chose dont je suis convaincue, dont je suis intimement persuadée c’est que les routes de l’humanité sont des parallèles. Opportunément nous nous hybridons fugacement aux intersections, ou encore profitons d’un arrêt sur l’aire de repos  pour éventuellement faire plus ample connaissance, discerner des affinités, ensemble, poursuivre un tant soit peu la route. Un instant de caresses, mains douces ou brutales, nous nous aimons, nous blessons, nous exaltons. Partages, blessures. Qu’importe les dieux où les philosophies l’important n’est il pas cette rencontre ? Seul l’amour reste capital, l’amour que nous pouvons partager, accorder et recevoir. Souvent, dès le prochain carrefour, nos pas divergent : c’est la séparation. Chacun reprend son chemin, brisé ou heureux de cette rencontre.

…de cette grande réflexion, je me sens mieux : mon fil m’impressionne moins, j’en arrive à rire de mes craintes, je ris tant et si bien que mon fil vibre et chante aussi ! C’est alors que des larmes plein les yeux, hoquetant de bonheur, je discerne tout autour de moi, ici et là d’autres personnes assises tout comme moi : nous rions en chœur, encore et encore ! L’écho s’amplifie, perce le brouillard et tout s’illumine !

Coule fleuve de ma vie, bondit, charrie, chavire que tourbillonnent les feuilles, éclatent les tempêtes, je reste à la barre qu'importe les grains je cueillerai, petite Maude,  avec la même passion l'essence même de l'instant fugitif et fragile ... 

Demain si je le veux, si tu le veux pour nous sera encore !

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 21:35

Marc Lavoine et catherine Ringer

J'me sens pas belle
Quand tu marches, tu marches vers moi.


Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à toi.


J'me sens pas belle
Quand tu sais que je sais pas
.

Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu dis, tu dis je crois.

J'me sens pas belle
Quand tu ris, tu ris de quoi?

Qu'est ce que t'es belle
Quand tu doutes, tu doutes de toi
.

Refrain:
Le soleil est là, le soleil est là, aide-moi.
Le soleil est là, cache -toi dans mes bras
.

J'me sens pas belle
Quand tu parles, tu parles de quoi?

Qu'est ce que t'es belle
Quand t'as peur t'a peur de toi.

J'me sens pas belle
Quand tu rêves tu rêves à quoi?

Qu'est-ce que t'es belle
Quand tu penses, tu penses à moi


Refrain


 S'il y a bien quelque chose de suggestif c'est sans conteste la beauté.

Ce qui attire l'un, rebutera l'autre. Et c'est bien heureux ainsi. 
Imaginez un instant que nous soyons tous attirés par le même type de personnes : ce serait l'anarchie!

L'attirance... Il parait que c'est une histoire de phéromones ?!...

Notre nez aurait des capteurs olfactifs qui détecteraient notre moitié idéale.

De même en réveillant l'animalité qui sommeille en nous elle nous permettrait de nous détourner de qui ne nous siérait pas (?... à vérifier)

La sagesse populaire l'avait compris depuis longtemps en arguant « je ne peux pas le (la)sentir ».

Il y a juste un petit « hic » comment se fait il alors qu'il suffit d'entendre la voix de quelqu'un ou de le voir à la télé pour ressentir soit une furieuse envie de zapper ou encore d'être totalement envoûté(e)?

Et lorsque votre ami(e) vous dit :

  • « Waow! Il (elle) est trop beau (belle)!

  • Ah! Oui? Tu trouves?

Enfin, rassurons-nous, le charme fait bien plus de ravage que la beauté, et s'il est vrai que la beauté reste une équation non résolue, le charme quand à lui sera à jamais un mystère impénétrable.

Et vous qu'en pensez-vous?

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 06:15

je-t-attend.JPG

Ça fait longtemps

que je t'attend

Il serait temps

que tu reviennes

 

Les enfants sont partis

ils disent que toi aussi

Ce n'est pas possible

ton chapeau est posé ici

 

Sur le banc qui vieillit

je veille auprès de lui

afin que les oiseaux honnis

n'y fassent leur nid

 

Ça fait longtemps

que je t'attend ma mie

Il serait temps

que tu reviennes

 

Les enfants sont partis

ils disent que toi aussi

dans l'ombre de nos vies

je reste seul... ici

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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 05:25
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18 février 2008 1 18 /02 /février /2008 00:08
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Par l'essence même de leur évidence

qu'ils sont difficiles à dire

ces simples mots : « je t'aime »

 

Je t'aime malgré et surtout,

au delà de nos différences,

de nos absences, de nos distances

 

Je t'aime parce que tu es toi

ma soeur, mon frère, mon sang

et que ton souffle plus que le mien

m'apporte, m' importe tant

 

Par l'essence même de leur tendre évidence

qu'il m'est difficile de dire aux miens

Ces doux mots « je t'aime »

 

Et pourtant,

aussi vrai que je m'appelle

Fabienne,

Nanar, Vivi, Mimiche

je vous aime!


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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 23:59
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Bonne nuit à vous tous, à demain!
big bisous

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17 février 2008 7 17 /02 /février /2008 10:43

Le 14 février étant passé nous lui disons au revoir et saluons sa consoeur : Ste Répulsion.

Autant il est vrai qu'un être nous attire autant certains nous font fuir!

Et vous? Qu'est ce qui vous horripile? Quelles attitudes ne supportez vous pas?
- Traits de caractères
- langage
- physique
- défauts divers
- ...

Allez si on en parlait
Décrivez pour notre plus grand plaisir ceux qu'il vous insuporte : 
- chez une femme
- chez un homme

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Profil

  • poussières d'étoiles
  • à vous de me le dire!
  • à vous de me le dire!

Texte Libre : opinion

Liberté, fraternité, égalité....

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité...

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne...

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants...

Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé...

"La folie suprême n'est-elle pas de voir la vie comme elle est et non comme elle devrait être"?
J. Brel

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Voilà mon p'tit nouveau! Un blog qui servira à illustrer à l'aide de mon p'tit appareil photo les chemins parcourus :-)
big bisous

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