Le blog de poussières d'étoiles

Je vous engage à suivre le lien c'est vraiment!!!



Très franchement je fais partie de ceux (celles) qui ne se positionne pas sur le port du voile, est il ou non symbole de soumission? Je n'en sais rien. Le coran selon certain impose son port ou ne l'impose pas, qu'en est il réellement? 
je pense qu'il devrait s'agir là comme en beaucoup de position d'un choix personnel, mais l'est il actuellement ce choix personnel ou pas? Est-il imposé? Librement consenti? Mais lorsqu'on sait qu'aujourd'hui dans nos églises les femmes et les hommes sont assis par endroits encore chacun d'un côté de l'allée on peut se dire que ce n'est pas demain la veille que ces autorités perdront de leurs ascendants...
J'ai connu tant et tant de personnes engluées dans les arcanes d'une religion, d'un groupe, sous l'influence néfaste de l'un ou l'autre et puis ce séparatisme, cette marque affichée si elle stigmatise une partie de l'humanité me choque en ce sens
Ce qui aujourd'hui m'insurge c'est que des "créateurs" de mode semblerait vouloir nous imposer ce style!!!! Bon à part quelques félés (excusez moi mais c'est réellement le fond de ma pensée) qui vont l'adopter parce que c'est une mode, cela fera peut être chic dans une soirée huppée!! Nous sommes évoluées (du moins je l'espère...) et pas rétrograde, mais voici une attitude qui me semble dangereuse car insidieuse!
Bien plus encore, je vois rouge, à la lecture de l'article qui mentionne "ces femmes qui dévoilent outrageusement leurs charmes et se font tentatrices et démoniaques!" Ah oui! Et le respect, le respect d'un être envers un autre? Excusez moi mais je peux rencontrer un homme en short ou torse nu sans avoir envie de lui foncer dessus mais nous pauvres héres ne pourrions dévoiler nos gambettes?
Oui je suis en colère surtout lorsque je pense à la jeunesse si prompt à suivre n'importe quel précepte du moment qu'il est à la mode, que c'est un courant, pour faire comme les autres. En colère connaissant pas mal d'abrutis qui diront : "ah mais oui!, adopte ce style ma fille, ma femme, un autre que moi, que ton mari n'a à te voir"
Alors mesdames? Quand adoptez-vous la burqa?
Voilà je vous laisse un extrai ci-dessous de l'article : bonne lecture!

Un photographe de mode tente de magnifier la Burqa.

Par Melba le 10 juin 2008

Le site islamolucide bivouac-id nous informe qu’en France, le célèbre photographe de mode Jean-Baptiste Mondino tente de magnifier la burqa. Dans un article de Libération, il a déclaré : « J’ai vu ces deux filles habillées de noir, portant sac et chaussures haute couture, et je les ai trouvées extrêmement élégantes. Pour la première fois de ma vie, je les ai regardées autrement et j’ai apprécié leur beauté. » (...) Entre notre pseudo-liberté sexuelle et la nudité trop galvaudée dans nos sociétés, peut-être un autre chic tout en retenue se dessinait-il là ? Mon regard se faisait moins machiavélique. »

Définition de Wikipédia

L'homosexualité désigne l'amour, l'attirance et, éventuellement la pratique de relations sexuelles, entre deux personnes de même sexe. Le mot s'applique indistinctement aux hommes et aux femmes.

Hier à Bruxelles avait lieu la Gay Pride

Elle choque ou elle amuse. Les uns sont pour, les uns sont contre ce genre de manifestation.Nous aurons donc tous à ce sujet notre opinion personnelle.


Aujourd'hui encore l'homosexualité est condamnée dans certains pays de peine d'emprisonnement voir de peine de mort. Et c'est cela qu'il nous faut combattre.

Je pense qu'il ne nous appartient pas de juger le bien fondé du comportement de qui que ce soit.

Le monde se porterait mieux si nous adoptions un esprit de tolérance.

La liberté de l'un ne termine t'elle pas ou celle de l'autre commence?

Voici un mail que j'ai reçu ce matin, j'espère que vous prendrez la peine de le lire il en va de notre bien être à tous :-)
Même si vous n'avez pas l'âme écologiste (si, si ça existe :-) du moins personne ne peut rester insensible à l'exploitation humaine.
Il ne s'agit pas d'être moralisateur mais conscient qu'à notre niveau si petit soit il nous pouvons exercer notre pouvoir de consommateur et choisir des produits locaux de saison. Cela permet également de retrouver la saveur perdue des fruits et légumes.
Le texte ci après parle de la fraise mais il en va de même avec les pommes, les ....
ps : j'ai mis en "vert" ce qui m'interpellait et comme je suis sympa ;-) j'ai mis une grande police pour faciliter la lecture du texte...

> Si vous mangez encore des fraises d'Espagne après avoir lu ça ......
> >
>
> Date: 9 avr. 2008 18:03
> > Subject: des fraises?
> >
> > D'ici à la mi-juin, la France aura importé d'Espagne plus de 83 000
> tonnes de fraises. Enfin, si on peut appeler «fraises» ces gros trucs
> rouges, encore verts près de la queue car cueillis avant d'être mûrs, et
> ressemblant à des tomates. Avec d'ailleurs à peu près le goût des
> tomates...
> >
> > Si le seul problème posé par ces fruits était leur fadeur, après tout,
> seuls les consommateurs piégés pourraient se plaindre d'avoir acheté un
> produit qui se brade actuellement entre deux et trois euros le kilo sur
> les marchés et dans les grandes surfaces, après avoir parcouru 1 500 km en
> camion. À dix tonnes en moyenne par véhicule, ils sont 16 000 par an à
> faire un parcours valant son pesant de fraises en CO2 et autres gaz
> d'échappement. Car la quasi-totalité de ces fruits poussent dans le sud de
> l'Andalousie, sur les limites du parc national de Doñana, près du delta du
> Guadalquivir, l'une des plus fabuleuses réserves d'oiseaux migrateurs et
> nicheurs d'Europe.
> >
> > Il aura fallu qu'une équipe d'enquêteurs du WWF-France s'intéresse à la
> marée montante de cette fraise hors saison pour que soit révélée
> l'aberration écologique de cette production qui étouffe la fraise
> française (dont une partie, d'ailleurs, ne pousse pas dans de meilleures
> conditions écologiques). Ce qu'ont découvert les envoyés spéciaux du WWF,
> et que confirment les écologistes espagnols, illustre la mondialisation
> bon marché.
> >
> > Cette agriculture couvre près de six mille hectares, dont une bonne
> centaine empiètent déjà en toute illégalité (tolérée) sur le parc
> national. Officiellement, 60% de ces cultures seulement sont autorisées;
> les autres sont des extensions «sauvages» sur lesquelles le pouvoir
> régional ferme les yeux en dépit des protestations des écologistes.
> >
> > Les fraisiers destinés à cette production, bien qu'il s'agisse d'une
> plante vivace productive plusieurs années, sont détruits chaque année.
> Pour donner des fraises hors saison, les plants produits in vitro sont
> placés en plein été dans des frigos qui simulent l'hiver, pour avancer
> leur production. À l'automne, la terre sableuse est nettoyée et
> stérilisée, et la microfaune détruite avec du bromure de méthyl et de la
> chloropicrine. Le premier est un poison violent interdit par le protocole
> de Montréal sur les gaz attaquant la couche d'ozone, signé en 1987
> (dernier délai en 2005); le second, composé de chlore et d'ammoniaque, est
> aussi un poison dangereux qui bloque les alvéoles pulmonaires.
> >
> > Qui s'en soucie? La plupart des producteurs de fraises andalouses
> emploient une main-d'oeuvre marocaine, des saisonniers ou des sans-papiers
> sous-payés et logés dans des conditions précaires, qui se réchauffent le
> soir en brûlant les résidus des serres en plastique recouvrant les
> fraisiers au coeur de l'hiver.
> >
> > Un écologiste de la région raconte l'explosion de maladies pulmonaires
> et d'affections de la peau. Les plants poussent sur un plastique noir et
> reçoivent une irrigation qui transporte des engrais, des pesticides et des
> fongicides. Les cultures sont alimentées en eau par des forages dont la
> moitié ont été installés de façon illégale. Ce qui transforme en savane
> sèche une partie de cette région d'Andalousie, entraîne l'exode des
> oiseaux migrateurs et la disparition des derniers lynx pardel, petits
> carnivores dont il ne reste plus qu'une trentaine dans la région, leur
> seule nourriture, les lapins, étant en voie de disparition. Comme la
> forêt, dont 2 000 hectares ont été rasés pour faire place aux fraisiers.
> >
> > La saison se termine au début du mois de juin. Les cinq mille tonnes de
> plastique sont soit emportées par le vent, soit enfouies n'importe où,
> soit brûlées sur place.
> >
> > Et les ouvriers agricoles sont priés de retourner chez eux ou de
> s'exiler ailleurs en Espagne. Remarquez: ils ont le droit de se faire
> soigner à leurs frais au cas où les produits nocifs qu'ils ont respirés...
> >
> > La production et l'exportation de la fraise espagnole, l'essentiel étant
> vendu dès avant la fin de l'hiver et jusqu'en avril, représente ce qu'il y
> a de moins durable comme agriculture, et bouleverse ce qui demeure dans
> l'esprit du public comme notion de saison. Quand la région sera ravagée et
> la production trop onéreuse, elle sera transférée au Maroc, où les
> industriels espagnols de la fraise commencent à s'installer. Avant de
> venir de Chine, d'où sont déjà importées des pommes encore plus traitées
> que les pommes françaises...
> >
> > Par Claude-Marie Vadrot
> > Politis / 12 avril 2007
> >
> > NB. N'hésitez pas à faire connaître cela à vos amies et amis...

Petite réaction suite aux  coms pour l'article "conscience ou croissance".
Ceci n'est pas une contre attaque. Juste l'opportunité d'ouvrir le débat.
C'est réellement pour moi l'intérêt du blog : aller vers l'autre, confronter nos idées, débattre et tenter ... d'avancer :-)

Je ne pense pas être manipulée par les médias. En général je suis plutôt sceptique donc j'ai tendance à analyser et décortiquer avant de prendre position et lorsque je me trompe je trouve plus intelligent de le reconnaître que de m'enferrer dans mes erreurs.

Dans l'existence j'ai néanmoins quelques certitudes dont celle ci : la vie c'est sacré. Quelque soit l'acte commis aussi odieux soit il ôter la vie : décapiter, électrifier, gazer, ... et tout autres délicatesses humaines pour exécuter  qui que ce soit fait de nous des assassins. (encore plus lorsque ce ne sont pas des innocents qui en font les frais)

La marge est faible entre la victime et le bourreau, tout bascule si vite.  J'entends déjà les réactions : "oui et si on tuait tes enfants, qu'on les violait, que..." Que Dieu s'il existe m'en préserve, en attendant c'est notre responsabilité de participer à l'élaboration d'un monde plus juste, d'un monde "humain". Si l'un des miens venait à souffrir j'aurais une réaction d'individu et elle serait légitime, mais face à l'oppression d'une nation, des "autorités", des dictats, je dis : NON, NON, NON!

Il ne s'agit pas ici d'attaquer en particulier l'un ou l'autre gouvernement que ce soit la chine, l'amérique, la france ou la belgique où il n'y a pas encore si longtemps l'on guillotinait ou pendait , n'oublions pas de rajouter à la liste la lapidation, c'est inadmissible dans tous les cas. Et je les condamne tous au même titre pour les atrocités commises.

Nous vivons aujourd'hui je le crains comme dans toutes les périodes de l'histoire à l'ère du pouvoir, du pouvoir des plus forts sur les plus faibles, du pouvoir de l'argent, du pouvoir économique. Un individu seul n'arrivera jamais à éradiquer cette triste réalité mais nous pouvons néanmoins manifester notre désacord , même (et surtout dirai-je) si cela nous cause quelques désagréments, que risquons-nous nous qui vivons en "démocratie" nous ne serons pas exécutés pour autant ni torturé, personne ne viendra nous arracher à nos foyers, les nôtres ne mourront pas de désespoir en nous cherchant en vain... au pire se fera t'on traiter de fous, d'empêcheur de tourner en rond,  sera t'on tourner en dérision...; rien de mortel!

Je trouve fantastique que nous puissions ainsi "converser", c'est nos différences qui nous enrichissent, qui peut se targuer de détenir la vérité : sûrement pas moi, sûrement pas toi, sûrement par l'autre, mais tous ensemble nous pouvons arriver à trouver un moyen de vivre en harmonie sans léser qui que se soit, c'est mon utopie, si je n'y crois plus pourquoi vivrai-je encore? Un monde qui ne serait qu' haine et violence je ne peut y trouver ma place. Alors à mon niveau insignifiant j'essaie même si c'est vain, même si c'est une goutte d'eau d'exprimer mes opinions, de participer dans une moindre mesure aux injustices, de m'informer surtout pour savoir car l'ignorance est mère de tous les maux, et je présente mes excuses sincères à quiconque mes propos auraient blessés car tel n'était pas mon intention mais je persiste et signe : c'est maintenant, c'est aujourd'hui que des injustices se passent et nous ne pouvons fermer les yeux car c'est accorder impunément un permis arbitraire de violenter.

Si tous les hommes de bonnes volontés se donnaient la main... j'espère qu'on pourrait faire le tour de la terre (?...)