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15 décembre 2007 6 15 /12 /décembre /2007 15:00

Donne-moi

 

Paroles: Charles Aznavour. Musique: Gilbert Bécaud   1952

Où que tu sois
Dans l'infini ou dans le ciel
Qui que tu sois
Pétri de chair ou d'irréel
Quel que soit le nom que l'on te donne
Qu'elle que soit la forme que tu aies
S'il est vrai que tu aies sur nous droit de vie et de mort
S'il est vrai, s'il est vrai, alors...

Donne-moi s'il te plait
Je t'en supplie donne-moi
Un peu d'espoir un peu de vie un peu d'amour
Donne-moi sans tarder
Chaque matin donne-moi
Un peu de ciel, un peu d'oubli des tristes jours
Un horizon pour mon coeur
De l'infini dans ma voix
Et des rêves, des rêves de joie

Donne-moi s'il te plaît
Je t'en supplie donne-moi
Un peu d'espoir un peu de vie un peu d'amour

Je t'ai cherché
Dans l'infini et dans le ciel
Pour me donner
Un peu d'amour et d'irréel
Tu m'as tout donné, tout mais quand même
Je reviens les mains tendues vers toi
Je sais bien que tu peux me donner beaucoup plus encore

Donne-moi s'il te plaît
Je t'en supplie donne-moi
Beaucoup d'espoir, beaucoup de vie, beaucoup d'amour

Donne-moi sans tarder
Chaque matin donne-moi
Beaucoup de ciel beaucoup d'oubli des tristes jours
Des horizons pour mon coeur
De l'infini dans ma voix
Et des rêves, des rêves de joie
Donne-moi s'il te plaît
Je t'en supplie donne-moi
Beaucoup d'espoir, beaucoup de vie, beaucoup d'amour
Puisque tu as sur nous droit de vie et de mort
Donne-moi, donne-moi encore...

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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 21:06

Pour Polly, 
affectueusement.

La plus drôle des créatures 

Comme le scorpion, mon frère
Tu es comme le scorpion
Dans une nuit d'épouvante. 

Comme le moineau, mon frère,
Tu es comme le moineau
Dans ses menues inquiétudes.
 

Comme la moule, mon frère,
Tu es comme la moule
Enfermée et tranquille. 

Tu es terrible, mon frère,
Comme la bouche d'un volcan éteint. 

Et tu n'es pas un, hélas,
Tu n'es pas cinq,
Tu es des millions. 

Tu es comme le mouton, mon frère,
Quand le bourreau habillé de ta peau
Quand le bourreau lève son bâton
Tu te hâtes de rentrer dans le troupeau
Et tu vas à l'abattoir en courant, presque fier. 

Tu es la plus drôle des créatures, en somme,
Plus drôle que le poisson
Qui vit dans la mer sans savoir la mer. 

Et s'il y a tant de misère sur terre
C'est grâce à toi mon frère,
Si nous sommes affamés, épuisés,
Si nous sommes écorchés jusqu'au sang,
Pressés comme la grappe pour donner notre vin,
Irai-je jusqu'à dire que c'est de ta faute, non,
Mais tu y es pour beaucoup, mon frère. »
 

Nazim Hikmet, 

 

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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 21:24




Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort qu'ils ont raison
Bernard Werber



j'ai relevé cette petite phrase que j'aime beaucoup!:-)

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20 novembre 2007 2 20 /11 /novembre /2007 09:57

 

 

Lorsque les nazis sont venus
chercher les communistes
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas communiste.


Lorsque ils sont venus
chercher les sociaux-démocrates
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas social -démocrate.


Lorsque ils sont venus
chercher les syndicalistes.
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas syndicaliste


Lorsque ils sont venus
chercher les catholiques
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas catholique.


Lorsque ils sont venus
chercher les juifs
Je n'ai rien dit
Je n'étais pas juif.


Puis ils sont venus me chercher
Et il ne restait plus personne
pour protester.

Poème attribué à Martin Niemöller

 

Als die Nazis die Kommunisten holten,
habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Kommunist.
Als sie die Sozialdemokraten einsperrten,
habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Sozialdemokrat.
Als sie die Gewerkschafter holten,
habe ich geschwiegen,
ich war ja kein Gewerkschafter.
Als sie mich holten, gab es keinen mehr,
der protestieren konnte.” 

 

Als die Nazis die Kommunisten holten,
habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Kommunist.
Als sie die Sozialdemokraten einsperrten,
habe ich geschwiegen;
ich war ja kein Sozialdemokrat.
Als sie die Gewerkschafter holten,
habe ich geschwiegen,
ich war ja kein Gewerkschafter.
Als sie mich holten, gab es keinen mehr,
der protestieren konnte.” 

 

                                                   Martin Niemöller (1892-1984)

Fils de pasteur, il entre à 18 ans comme cadet dans la marine impériale. En 1918, il devient commandant de sous-marin.

Après la guerre, il s’engage dans un corps franc contre les communistes avant d’entamer des études de théologie.

Niemöller a d’abord de la sympathie pour le NSDAP (parti nazi), pour lequel il a voté dès 1924.

Simple pasteur dans la banlieue de Berlin, Martin Niemöller proteste cependant quand, en septembre 1933, l'Église protestante est soumise au régime nazi et que les pasteurs « non aryens » en sont expulsés.

Il forme alors, avec d'autres pasteurs antinazis, une nouvelle organisation nommée « Ligue d'urgence des pasteurs » qui travaille à l'intérieur de l'Église pour combattre cette nazification. Quand l'Église protestante devient, en 1934, l'Église du Reich, Niemöller et d'autres opposants rompent avec elle pour fonder l'Église confessante. Celle-ci combat directement, dès 1934, la dictature et surtout l'idéologie nazie qu'elle qualifie de non chrétienne et de non morale.

Niemöller a été arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. En 1941, il a été transféré au camp de concentration de Dachau.

Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945, il se consacre par la suite, jusqu'à sa mort en 1984, à la reconstruction de l'Église protestante d'Allemagne.

Niemöller était convaincu que l'Allemagne et l'Église (« coupable » par action et omission) partageaient une « responsabilité collective » eu égard aux atrocités nazies.

 

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26 octobre 2007 5 26 /10 /octobre /2007 22:56

pure-science-fiction.jpg


à l'impossible nul n'est tenu
dicton hindouïxte

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 15:37

17 octobre : journée mondiale pour l’élimination de la pauvreté

INJUSTICE ET HUMILIATION

La pauvreté, constate la Banque mondiale, est un phénomène à plusieurs dimensions: être pauvre, c'est non seulement avoir faim, c'est aussi avoir des difficultés pour se loger, pour se soigner ou pour éduquer ses enfants. Les dimensions psychologiques également sont très importantes: dans leur rapport avec les institutions de l'État ou les hommes de pouvoir à tous les niveaux, les pauvres ressentent "de la dépendance, de la honte et de l'humiliation". En plus, le sentiment de la pauvreté est souvent lié à celui de l'injustice et de l'absence de protection de tout genre. 

La plus importante raison évidemment est de nature économique. "Être pauvre, c'est être forcé d'accepter les prix fixés par d'autres", constate un paysan de Tanzanie. "Ici, nous n'avons pas les moyens de stocker notre grain en attendant que les prix deviennent plus intéressants. Non, nous devons le vendre immédiatement pour rembourser nos dettes; on ne fait donc aucun bénéfice. Puis, nous devons en acheter plus tard… à crédit, pour manger, lorsque les prix sont plus élevés."  

Rares sont les exemples où les institutions des pays concernés parviennent à mettre en place des programmes efficaces de lutte contre la pauvreté. Les crédits publics ou les aides sociales sont distribués avec lenteur et chaque intermédiaire prélève sa part du gâteau au passage. La corruption est générale, la confiance n'existe pas, nulle part, même pas dans le domaine de l'enseignement ou dans celui de la santé. Souvent, les malades qui ne peuvent pas payer une petite "commission" ne sont même pas admis à l'hôpital; ils doivent rentrer chez eux pour… mourir.

 FOYERS BRISÉS

Le problème, c'est que les organisations non gouvernementales (ONG) ne parviennent pas à tout faire. "Les ONG ne remplissent pas une fonction très importante dans la vie des gens", observe la Banque mondiale, qui a recueilli un bon nombre de témoignages sur ce sujet.

Les foyers sont de plus en plus brisés. "D'importants changements économiques, politiques et sociaux ont isolé les individus et partagé les communautés dans de nombreuses parties du monde", écrivent les économistes de la Banque mondiale. Le document cite que dans les pays de l'ex-URSS de nombreux enfants sont abandonnés, même vendus tout simplement.

 Source: Le Monde interactif source : Internet Actuel - Document didactique

Pauvreté en Belgique

Un Belge sur huit connaît la pauvreté (aout 2007)
Grégoire Comhaire - Libre Belgique

Une étude sociologique donne les chiffres de la pauvreté dans notre pays.
Le coût croissant du logement en serait une des causes explicatives.

 

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14 octobre 2007 7 14 /10 /octobre /2007 20:26
j'ai toujours eu la passion des "nours", alors pour tout ceux qui les adorent aussi j'ai été les "pêcher" à gauche et à droite : voici le résultat
je-t-aime.png


la-premi--re-x.jpgnurs.gif



pacte-ecologique.jpgles "nours" d'enfant c'est bien mais à force de malmener la nature nous allons perdre les vrais!
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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 14:34
plume.jpgOn ne prend pas le temps d'aimer
Va faire ta vie
Va-t-en d'ici
Disait mon père
Et puis reviens
Si t'as besoin
Disait ma mère
Monte tes manches
Même le dimanche
Disait mon père
Prends garde à toi
Ménage-toi
Disait ma mère

Petits rideaux à la fenêtre du salon
Deux trois faïences quelques pigeons
Sur le balcon

On ne prend pas le temps d'aimer
On ne prend pas le temps de dire
On croit qu'ils ont l'éternité
Et qu'ils font semblant de vieillir
On leur reproche d'être vieux
D'avoir toujours les larmes aux yeux
Pour dire au revoir ils disent adieu
Parfois ça nous dérange un peu
Alors on y va quand on peut

Est-ce que chanter
C'est un métier ?
Disait mon père
Laisse-le donc
Faire ses chansons
Disait ma mère
Près du plafond
La suspension
En bois verni
En aura vu
Et entendu
Toute une vie

Dans les fauteuils posés sur un linoléum
Tous deux attendent un téléphone
Qui ne sonne pas

On ne prend pas le temps d'aimer
On ne prend pas le temps de voir
On dit qu'on est si mal garé
On dit qu'on reviendra plus tard
On leur dit tellement peu de choses
Que c'est le silence qui cause
On leur raconte des histoires
Pour dire adieu on dit au revoir
Et eux font semblant de nous croire

On ne prend pas le temps d'aimer
On ne prend pas le temps de dire
On a tellement peur du passé
Ils craignent si fort l'avenir
On voudrait mentir un peu mieux
Quand ils nous parlent du bout des yeux
De cet invité qu'ils redoutent
Qui doit être en chemin sans doute
Et qui devra croiser leur route
Pierre Bachelet
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13 septembre 2007 4 13 /09 /septembre /2007 08:22
  • ze-t-aime-.jpg"La jalousie n'est souvent qu'un inquiet besoin de tyrannie appliquée aux choses de l'amour" (Proust)
  • "La jalousie naît toujours avec l'amour, mais elle ne meurt pas toujours avec lui" (La Rochefoucauld)
  • "Il y'a dans la jalousie plus d'amour-propre que d'amour" (La Rochefoucauld)
  • "Il faut, dans la vie, assaisonner l'amour d'un peu de jalousie" (Jean-François Regnard)
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Profil

  • poussières d'étoiles
  • à vous de me le dire!
  • à vous de me le dire!

Texte Libre : opinion

Liberté, fraternité, égalité....

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité...

Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne...

Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants...

Nul ne peut être arbitrairement arrêté, détenu ou exilé...

"La folie suprême n'est-elle pas de voir la vie comme elle est et non comme elle devrait être"?
J. Brel

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Voilà mon p'tit nouveau! Un blog qui servira à illustrer à l'aide de mon p'tit appareil photo les chemins parcourus :-)
big bisous

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