Il sent bon le foin dans ce pré
Ainsi nommé car sans clôture
Jolies fleurs, herbes parfumées
Reine y est la vache, elle pâture.
Me languissant d’une joie soudaine
Je me roule dans cette herbe rieuse
Ephémère ce bonheur, aubaine
Cet instant à l’allure trompeuse..
Retour à la réalité
Celle du stress des gens qui se pressent
Je me débats pour surnager
Dans ce triste monde qui oppresse.
Il existe un tout autre pré
Entouré de murs, de barreaux
Où l’espoir se nomme Liberté
Poème, rêve apaisant leurs maux.
Printemps2006
Bubune
Merci Bubune pour ce joli poème mais tu ne m'as pas laissé de lien :-)